White only

Mis à jour le 24/12/2022

Separate Waiting

25th May 1961: A police sign for a ‘white only’ waiting room at the bus station in Jackson, Mississippi. (Photo by William Lovelace/Express/Getty Images)

Le Paris Event Center, réservé à l’accueil des « réfugiés ukrainiens » est à moitié vide, mais … interdit aux sans-abri en cette période hivernale particulièrement rigoureuse – il fait quelque -5 à -7° ces derniers jours ! Une discrimination entérinée par un tribunal ! « Les pauvres, dehors ! ». Pas de mélange avec ces poupées de cire que sont désormais les Ukrainiens, monnaie d’échange valorisant de sombres desseins quand il s’agit, de fait, de mettre la Russie au ban de l’humanité « au nom de nos valeurs », de « la défense de la démocratie » et autres fadaises derrière lesquelles se gavent ceux qui, aujourd’hui en France, appliquent une forme d’apartheid si constitutif de la réalité des « démocraties », comme des dictatures, si constitutive de la marchandise qui impose son diktat sur la planète, quel que soit le régime politique adapté à la région. La marchandise n’est pas seulement réifiante dans le statut social que sa possession confère, tel le statut d’ayant-droit à la marchandise « Ukrainien », puisque en cela, seulement, réside tout le secret de sa possession ; elle sépare de plus en plus visiblement ceux qui y ont accès de tous les autres. Aux uns l’illusion d’un pouvoir, strictement confiné au « pouvoir d’achat », quand aux autres, appartient la faculté d’acheter le pouvoir. L’argent est le ticket d’entrée de son paradis hallucinatoire de mirages paillettes & pacotilles, son Ausweis. Sa non-possession en chasse, telle une excommunication divine.

La bourgeoisie, forte du pouvoir que lui confère cette abstraction, l’argent, a toujours voulu tout diriger, y compris les révolutions, car c’est elle, pense-t-elle, qui « pense« , et elle les a dirigées, en effet, dans un remake toujours renouvelé de « La tête et les jambes« . Machin Chose, dont un extrait de son livre est repris dans Le Monde diplomatique de février 22, peut bien culpabiliser, comme sait si bien le faire croire l’hypocrisie bourgeoise, de n’avoir pas la « spontanéité » de l’indignation populaire, en tant que détenteur, par la grâce de l’argent, d’une pensée séparée, détachée du sol en quelque sorte. Léniniste attardé, il entend bien, avant tout, « sauver sa « profession » de petit « professeur » et ses prophéties, telle une tomate hors sol vendant sa teneur énergétique. Voilà bien une sorte d’escroquerie feignant d’ignorer qu’il ne peut plus y avoir « d’intellectuel » quand le capital, poussé jusqu’à ses dernières extrémités, éventrant la terre pour en tirer les dernières gouttes de son énergie, a ramené chacun à la même enseigne de marchandise, dans une perte commune de tout pouvoir sur sa vie. Une situation commune qui fait collectif. « Penser sa situation », tout le monde sait le faire, mais seule la faim de vivre en fait une question pratique. Une faim qu’une illusion de confort peut prétendre calmer, mais l’illusion se dissipe, manifestement.

En avant-première, mais comme tous les autres qui suivront à la queue leu-leu, les pauvres peuvent bien crever, déchets du capitalisme, de la politique de l’argent asservissant le monde et réduisant peu à peu chacun à n’être plus qu’une ordure jetable, que ce soit en tant que victime ou en tant que profiteur.
C’est ainsi, notamment, que cette « classe moyenne », soutien inconditionnel, ou quasiment, du capital et de ses ravages, commence d’en subir les premiers effets, que ce soit sur le plan sanitaire avec ses Ausweis et ses « suspendus », ou énergétique, ce qui revient, de fait à la même chose aujourd’hui que l’énergie est la santé des machines que nous sommes devenues. Avec les frasques de ce gouvernement d’incapables et de corrompus, la France, qui s’était dotée à marches forcées par un général d’une industrie nucléaire lui promettant une « indépendance énergétique » – pas moins de 56 centrales nucléaires faisant prendre à sa population des risques considérables tels qu’ont pu les subir les populations ukrainiennes et japonaises -, la France, donc, se trouve aujourd’hui au bord de … la pénurie d’électricité ! Ce, d’une part par défaut d’entretien – négligence coupable de ses dirigeants, bien peu soucieux d’une sécurité autre que la leur -, et aussi bien du fait d’une vassalisation de la France aux intérêts du capital qu’auront avalisés ses dirigeants en asservissant le pays à un « marché européen de l’électricité » indexant l’électricité sur les énergies fossiles !!!! L’escroquerie devient avérée quand se voit pénalisé tout ce qui ne se plie pas aux diktats de l’industrie de l’automobile électrique – qui ne signifie rien de moins que retour au Moyen-Âge : l’immobilité pour les gueux, tandis que dans leurs diligences spatiales les « parvenus » pourront s’offrir une vue panoramique de la planète terre. Ce marché de dupes – de corrompus, de fait -, aura mis les industries au tapis – Ô hasard ! – qui voient leurs factures électriques tripler. Sans doute supportable par une part infime de la grande industrie, voici mis hors jeu artisanat et petit commerce ne pouvant encaisser les frasques de leurs dirigeants qu’ils ont pourtant portés au pouvoir, tels des enfarinés dupés par leur stupidité. Les boulangers, entre autres, se voient obligés de mettre un terme à plusieurs décennies de travail, de vendre leurs commerces pour simplement payer leurs dernières factures. Telle l’histoire hallucinante de celui-ci qui, doté d’un contrat de 3000€/Mois venant à échéance en fin d’année mais ne le reconduisant pas, se voit facturer quelque 63 000€ de frais de son contrat revendu à des fournisseurs d’électricité comme il en a tant fleuri du fait de la libéralisation de l’énergie lui faisant porter des « frais » de la non-reconduction de ce contrat !….
Voilà qui éclaire, pour le moins, sur la logique folle du capital éliminant les petits pour ne plus s’occuper que de sa seule accumulation colossale par les plus gros. La valeur n’attend plus le nombre des années, elle décide à présent de l’apartheid entre ceux « qui en veulent », quel qu’en soit le prix, et tous les autres.

Aussi bien, contrairement à ce que laissent entendre certains qui voient dans la seule « dénonciation des riches » l’occasion de redorer leur blason de boutiquier, couper la tête aux « riches » sans supprimer le système qui les nourrit, revient à seulement les remplacer par une armée de pauvres venant prendre leur place pour en croquer, eux aussi.

Ce gouvernement français, pratiquant l’apartheid en bon prêtre qu’il est des « valeurs » du capital, est sans conteste condamnable. Ses frasques pro-mafias ont la couleur d’un escompte sur investissement – encore 100 millions récemment « prêtés » aux Ukrainiens, comme si ceux-ci allaient les rendre, outre les 18Mds€/an alloués par la grâce de la Van der Leyen et les 45Mds$ que lui aura délivré le Congrès US pour promenade touristique du clown Zelenski en treillis ; une prestation cher payée qui fait décidément fi du contribuable …! -, et M. Macron flaire déjà l’odeur alléchante d’un prix Nobel de la paix pour son action pour l’Ukraine, tel un Obama, qui multiplia les assassinats ciblés par un usage intensif des drones tueurs. De même « assume »-t-il sans vergogne de parader à Doha, capitale de la corruption et de l’esclavagisme, puisqu’il y a fort à y gagner, et pas seulement une coupe du monde qui lui redorerait son blason fort défraîchi. Avec sa politique dictée par Big Pharma, ses cabinets de conseils US et autres opaques « conseils de défense », son gouvernement d’affairistes millionnaires, de bras cassés, de mis en examen que tous les gouvernements du monde doivent lui envier, notre vertueux pédagogue, parce qu’il ne fait rien en France, préfère manifestement détourner les regards vers l’étranger : ne vient-il pas de se déconsidérer, une fois de plus, en annonçant qu’il fallait « dégager » les dirigeants du Liban – ses benallas vont-ils s’y atteler ? – pour les remplacer par des … non corrompus ! Quand l’hôpital se fout de la charité ! Mais pour M. Macron, il y a les sujets dont il parle et qui ne le regarde en rien, et ceux qui le regarde et dont il se garde bien de toucher un seul mot ; RIEN sur le Qatar et sa corruption du parlement européen, Rien sur Mme Va der Leyen, pdte de la Commission européenne qui signe pour plusieurs milliards de contrats dont personne de doit connaître le contenu, pas plus que celui de ses échanges avec le PDG de Pfizer, lequel ne prend pas même le soin de se déplacer à la demande du parlement européen, tout en en acceptant la menue monnaie. à bon entendeur … Pour autant, en faire le deus ex machina dont il suffirait de couper le chou pour que tout devienne paradisiaque relève de l’escroquerie, quand il n’est qu’un simple rouage de ce système qu’il contribue à faire tourner avec ses petites mains et qui le rémunère grassement pour cela, comme le sont tous ces dits « députés » – pas moins de 577 en France payés quelque 6 000€/mois sans les charges, plus les « à-cotés », soit à peu près 20 000€ mensuels chacun, prélevés sur nos contributions -, … et pourquoi faire ? puisqu’ils n’ont plus même droit à la parole, que le Parlement qui les abrite, dûment chauffé quant à lui, n’est plus qu’un accessoire de théâtre peu à peu mis au rebut. Mais ils figurent, tandis que passe le dixième 49-3 au-dessus de leurs têtes, comme les B-52 passaient au-dessus de la tête des gouvernants du Sud Vietnam, sans les bombarder, mais allant « napalmer » les populations civiles, comme, aujourd’hui, les réformes viennent, en veux-tu en voilà, commencer de lécher les semelles des boulangers au fournil. Attention à l’électrocution …

Entre autres, ce groupe parlementaire, si abusivement auto-désigné comme « insoumis » (Ha ! Ha ), vient de faire, une fois de plus, si besoin était, la preuve de son allégeance au gouvernement en place en retirant son amendement au motif que le groupe parlementaire du Rassemblement national le voterait !… Gauche, droite n’existent plus, plus qu’un ramassis de marionnettes au service du parti de l’argent. L’extrême de ce parti de l’argent fait figure d’opposition, la seule capable de servir de voiture-balai de toutes les récriminations en dénonçant les figurants du spectacle et non le spectacle lui-même. « Le système », dans sa bouche, ce sont les acteurs, et non la machinerie qui les met en scène et les dirige. Ainsi feint-elle de s’en prendre à un Macron, mais non à l’argent dont il est le faire-valoir.
Voilà, de part et d’autre, un soutien inconditionnel à ce gouvernement puisque ses dites oppositions conjuguent leurs efforts pour en obtenir une somme nulle, tel l’âne de Buridan.
Être payés à ne rien foutre, tout en s’auto-proclamant être dans « l’opposition », voilà un bien bel arrangement pour que tout continue.

Dans un autre style, le site Lundi matin, auto-proclamé d’ultra-gauche, relaye 4 libertaires ukrainiens clamant leur opposition non pas à la guerre, non pas à leur gouvernement massacrant des civils dans le Donbass, non pas à l’OTAN qui l’arme, le finance, le soutient, mais… en intégrant l’armée régulière pour « défendre leur pays » ! La magnifique conscience de classe que voilà de la part « d’anarchistes » – excusez du peu – se muant en nationalistes, qui en viennent à dire qu’ils luttent contre Poutine parce qu’en Ukraine, « on peut faire ce que l’on veut » et qui, l’instant d’après disent que les manifestations y sont interdites ! En Ukraine, « on peut faire ce que l’on veut », les mafias ne cessent de le prouver, les mafias soutenues par l’OTAN … et par la dite « gauche » jusque chez des « anarchistes » dont la connerie extrême est relayée par une dite ultra-gauche !…

Quant au Monde diplomatique, il nous fait savoir que les Midterms 2022 n’auront pas été favorables aux Républicains, contrairement à toutes les élections précédentes et en dépit de ce que Biden est un vieillard sénile qui fait faire sa campagne par son « protecteur » Obama, comme de ce qu’un rapport de 630 pages a été envoyé aux membres du Congrès incriminant les frasques de son fils, corrompu jusqu’à l’os. Et le MD de conclure qu’il n’y a eu aucune fraude électorale, comme il n’y en a pas eu pour Macron, pourtant unanimement détesté dans le pays.

Ce qui est dépassé, pourrit …

Et quelle meilleure illustration de cette pourriture, dans tous les sens du terme, physiquement comme moralement, après le Bush, enfant gâteux feignant de chercher, avec un petit sourire, les armes de destruction massive sous le bureau ovale tandis que mouraient sous ses bombes des milliers de familles, après l’Obama, symbole d’une Amérique prétendant se blanchir de ses crimes de guerre avec un Nobel de la paix des drones, champion toutes catégories des assassinats ciblés, voici donc celui qui aura été placé en vitrine de la devanture des USA pour les représenter, symbole de ce qu’est visiblement devenu le capitalisme, sénile malgré son donner à voir de perpétuelle jeunesse, et pourri jusqu’à la moelle.
Hunter aura-t-il nommé son rejeton, la marionnette de l’industrie du pétrole et de l’armement, tout un programme, donnant à voir une nouvelle version du dicton populaire selon lequel « qui va à la chasse perd sa place » : ici ce serait plutôt : « fiston à la chasse, papa perd sa place ».
Le Rapport Marco Polo, récemment diffusé à chaque membre du Parlement et du Sénat US, n’en a sans doute pas fini de faire parler des voyages de la famille Biden Utd in Mafialand : corruption, affaires de mœurs en veux-tu, en voilà, et sur tous registres, came, … 479 affaires criminelles détaillées par le menu dans ce rapport dont les média se sont aussitôt chargés d’étouffer l’explosion, alors même que les mèches brûlaient déjà depuis quelques années. Toujours prolixes sur la délinquance de quartiers, ils se hâtent de maintenir l’omerta sur tout ce qui dévoilerait la vérité des dites élites, à moins que l’un de ses membres ne soit devenu par trop personna non grata et qu’il faille la déboulonner pour divertir de tout le reste. Régulièrement, il en est un qui tombe, le malheureux, de son estrade, les ailes cramées. Il en fut ainsi de Fillon, pour l’exemple, sur le corps duquel s’empressa de grimper un certain Macron. Il en sera ainsi de Biden, prochainement, avant que la pte de l’UE ne le suive aussitôt, entraînée par ses « élans » et ses frasques … – On ne sait ce qui pèse le plus lourd, chez elle. Sa große tête, toujours coiffée de son casque à pointes ? – suivie de Zelinski, pour ses bons et loyaux services d’acteur, faisant, comme dans un film, comme si la guerre était un jeu, le mettant en valeur au prix de centaines de milliers de vies.

Passent les figurants, reste l’infrastructure dont se sera dotée la production du film, ce qu’elle aura engendré de prétendus besoins, de mentalités avides, d’impuissance, de peur, de docilité, de dégoût de soi et d’autrui,, son organisation, ses réseaux, … surnageant au terme de cette folle équipée contre les peuples de la Terre. Ainsi l’OMS, l’Organisation Mondialiste de la Supercherie, s’illustrant à l’occasion de la dite « pandémie », comme l’opération militaire spéciale d’une entreprise privée financée notamment par un pékin du nom de Gates (grilles in french, c’est assez dire), faisant, au gré de ses affaires, la pluie et le beau temps sur la santé de milliards d’individus pour les plus grands profits de grands labos, et le malheur de millions de gens, pressés par leur « gouvernement » de se jeter dans le vide d’une expérimentation de soumission de masses, une guerre dont ils sont la chair à canon, un spectacle dont ils sont les figurants et les spectateurs dans une hallucinante mise en abyme.

La corruption à l’argent est désormais le maître-mot. Celle du Parlement européen par le Qatar, qui aura conduit à l’arrestation de pas moins de 16 personnes dont celle de la vice-pdte du Parlement – excusez du peu – est la partie immergée d’un iceberg s’enfonçant dans les eaux profondes de la dite « démocratie » européenne. En tant que telle, elle peut apparaître comme une alerte, mais surtout un contre-feu au bûcher en passe de s’allumer sous les pieds de Mme van der Leyen qui aura su afficher sans vergogne toute sa reconnaissance au PDG de Pfizer avec lequel des contrats faramineux de plusieurs milliards auront été signés dans la plus grande opacité. Les dits « représentants » du peuple, qu’ils soient Français ou Européens, ne laissent plus aucun doute sur le sujet quand, alors même que les salaires du dit peuple sont bloqués ; ils n’ont de cesse de s’augmenter outrageusement – « inflation oblige » !…. C’est ainsi que se gouverne la dite démocratie.
Mais ils ne se contentent pas de nous escroquer, ils se permettent de nous faire la morale et de nous pénaliser pour nos « fautes ». Valls condamné en Espagne à plus de 280 000 € pour fraudes dans ses comptes de campagne. Quant à M. Castaner, qui a un besoin pressant de menue monnaie pour sortir son chapeau de paille dans ses soirées dansantes, sa « cooptation » à la tête du port de Marseille ne semble pas lui suffire. Emboîtant le pas valseur de son illustre prédécesseur, le voici projetant de prendre enfin sa place, valet de pied et bouffon tout à la fois, d’une principauté d’opérette, dont l’enseigne, Mona Co, la signale comme un haut lieu de gentes fréquentations, comme chacun le sait.

Cette corruption permet aux Ukrainiens de renverser la vapeur d’une guerre, qui leur était bien évidemment défavorable, quand des milliards versés leur permettent d’acheter armes et mercenaires, tel le groupe Mozart, essentiellement composée d’anciens GI’s ou des forces spéciales britanniques comme l’est Boris Johnson, qui s’empressa de dissuader Zelenski de composer avec Poutine.
C’est ainsi que Macron, sans l’aval de qui que ce soit, envoie aux frontières de la Russie la technologie militaire de pointe , avec 17 chars Leclerc expédiés par le train à travers 5 pays d’Europe, à l’exception de l’Allemagne qui, finaude, s’y sera opposée.
Il est désormais avéré que les armes livrées à l’Ukraine se retrouvent pour plus de la moitié d’entre elles, pour ne pas dire les 2/3 dans les pattes des mafias, alors même que le caractère mafieux de l’Ukraine est connu de tous ceux qui lui ont livré des armes. Il faut donc penser que cela est le but recherché, de sorte que ces armes, qui seront retournées contre des populations, auront été instruments d’un terrorisme ainsi délibérément alimenté par les preux chevaliers occidentaux s’en prenant à la Russie par Ukrainiens interposés.
Aujourd’hui, les mêmes foudres de guerre semblent s’aviser des conséquences de leurs « inconséquences » ; en vient à se tarir le flot ininterrompu. En viennent à parler de l’Ukraine comme le paradis même de la corruption, et de Zelenski comme la marionnette des mafias, ceux-là mêmes qui, hier encore, soutenaient l’une et l’autre ?

Dans le même temps, il est devenu quasi impossible de bénéficier de soins de santé en France, tant aura été démantelé l’hôpital public devant lequel il faut désormais montrer patte blanche pour seulement pouvoir prétendre y entrer. Ses personnels auront été jetés comme des malpropres après avoir été acclamés pour services rendus, suspendus, comme dans les cages de sinistre renom d’un certain roi de France y enfermant ses opposants. En France, jamais les prisons n’auront été aussi bondées, d’opposants, entre autres.

De notoriété publique, la France est devenue un État-croupion, sorte de principauté d’opérette, « dirigée » depuis la City and Pentagone United, par l’écran d’une sorte de « satrape » n’arrêtant pas de « baver » sur le peuple qu’il est censé diriger, sur sa langue qu’il bafoue en ne la parlant plus même dans les instances internationales alors même qu’il y déplore par ailleurs …l’étiolement de la francophonie ! Autrement dit, un schizophrène, mercenaire des Anglo-Ricains et de leurs visées impériales de maintien coûte que coûte de leur domination planétaire, fut-ce au prix du démantèlement d’un pays comme la France, sans doute trop tissée d’Histoire.
C’est ainsi que, fort de l’expérience des amendes infligées aux manifestants et autres réfractaires, Macron ne gouverne plus que par la crainte qu’il inspire du fait de ses méthodes affichées d’autocrate, lui, la marionnette ! En acteur du spectacle qu’il sert et qui lui sert son rôle et ses émoluments, le voici se prémunissant de leurs conséquences prévisibles en faisant voter, ce 14/11/22, des lois liberticides frappant de lourdes amendes ceux qui, étudiants occuperaient leurs locaux ou, salariés, s’opposeraient à la mise en place de la réforme des retraites prolongeant celles-ci à un âge interdisant aux jeunes gens d’accéder au marché aux esclaves.

Le capitalisme c’est le droit de tuer, c’est la corruption même de ceux qui ne parviennent à se faire voir qu’en tant que signe de reconnaissance de leur corruption. Ils en sont, mouillés jusqu’au bec, et c’est par ce signe qu’ils sont partout accueillis comme dignes de confiance par le spectacle, qu’ils sont accueillis sur les plateaux de la propagande vantant en tant qu’ « experts » le mérite d’être un cobaye accompli, sous peine de sanctions, de discrédit, de discrimination.

On parle ici ou là de totalitarisme comme si c’était là une nouveauté et non pas un accomplissement, le devenir visible de l’essence même de la marchandise qui aura fait du vivant une chose vendable, et de l’équivalence son credo : chacun n’étant plus que quantité de valeur, est interchangeable avec son équivalent. De ce fait, et comme sa visée même, la marchandise veut tout savoir et tout diriger de l’humain, puisque sa destinée est de se substituer à l’humain, d’apparaître comme le vivant même quand l‘humain ne serait que chose insignifiante, faillible, substituable à merci, dont seuls les « modèles » sont mis en vitrine.

… Ce qui pourrit incite au dépassement

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