Paillasson volant

Actualisé le 11/02/19

S’interrogeant dans un de ses posts sur les traces que laissera à la postérité le sinistre Macron, F. Lordon revient alors sur l’hélicoptère programmé pour exfiltrer Macron-l’éborgneur planqué dans son bunker olympien lors des chaudes heures des émeutes parisiennes de novembre-décembre 2018..

Il s’en suit, pour les personnages de l’époque, qu’ils viennent prendre une certaine place dans l’Histoire — leur place. Celles de Castaner et de Macron sont en train de s’aménager. Macron va rester dans l’Histoire, c’est désormais acquis. Comme Macron-l’éborgneur, ou Macron-la-grenade. Peut-être Macron-l’hélicoptère. Ce serait souhaitable. Car maintenant, il faut qu’il parte. (Frédéric Lordon, Il est allé trop loin, il doit partir)

De quelques banalités sous le tapis de bombes

Modifié le 29/10/14 (Note 3)

Le 23 septembre, premier jour des attaques aériennes en Syrie, deux navires étasuniens ont lancé 47 missiles Tomahawk, chacun d’un coût de 1,4 millions de dollars, en détruisant des sites pétrolifères et autres installations syriennes sous le prétexte qu’ils étaient aux mains de l’Emirat Islamique. Quelques jours après la firme Raytheon, productrice des Tomahawk, a emporté l’adjudication d’un contrat de 251 millions de dollars pour la fourniture d’autres missiles et ses actions ont augmenté de 4% en moins d’un mois, alors que l’indice général en Bourse est descendu dans la même période de 2%. (…)
Rendant vaine la promesse de l’administration Obama de réduire le budget militaire, le Pentagone déclare que, comme « les Etats-Unis doivent rester en mesure de projeter leur propre puissance dans des aires où nous sont refusés l’accès et la liberté d’opérer, nous conserverons un vaste portefeuille de capacités militaires ».
Manlio Dinucci

http://www.mondialisation.ca/le-business-des-armes-senvole/5409092