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« Cette « aliénation » – pour que notre exposé reste intelligible aux philosophes {il paraît qu’il en reste} – ne peut naturellement être abolie qu’à deux conditions pratiques. Pour qu’elle devienne une puissance « insupportable », c’est-à-dire une puissance contre laquelle on fait la révolution, il est nécessaire qu’elle ait fait de la masse de l’humanité une masse totalement « privée de propriété », qui se trouve en même temps en contradiction avec un monde de richesse et de culture existant réellement, choses qui supposent toutes deux un grand accroissement de la force productive, c’est-à-dire un stade élevé de son développement. D’autre part, ce développement des forces productives (qui implique déjà que l’existence empirique actuelle des hommes se déroule sur le plan de l’histoire mondiale au lieu de se dérouler sur celui de la vie locale), est une condition pratique préalable absolument indispensable, car, sans lui, c’est la pénurie qui deviendrait générale, et avec le besoin, c’est aussi la lutte pour le nécessaire qui recommencerait et l’on retomberait fatalement dans la même vieille gadoue. {c’est précisément cette vieille gadoue qu’il sont en train de remettre sur la table artificiellement}. Il est également une condition pratique sine qua non, parce que des relations universelles du genre humain peuvent être établies uniquement par ce développement universel des forces productives et que, d’une part, il engendre le phénomène de la masse « privée de propriété » simultanément dans tous les pays (concurrence universelle), qu’il rend ensuite chacun d’eux dépendant des bouleversements des autres et qu’il a mis enfin des hommes empiriquement universels, vivant l’histoire mondiale à la place des individus vivant sur un plan local. (…)
Le communisme n’est pour nous ni un état qui doit être créé, ni un idéal sur lequel la réalité devra se régler. Nous appelons communisme le mouvement réel qui abolit l’état actuel. Les conditions de ce mouvement résultent des prémisses actuellement existantes. (…)

« La conception de l’histoire que nous venons de développer nous donne encore finalement les résultats suivants :
1. Dans le développement des forces productives, il arrive un stade où naissent des forces productives et des moyens de circulation qui ne peuvent être que néfastes dans le cadre des rapports existants et ne son plus des forces productives, mais des forces destructrices (le machinisme et l’argent), – et, fait lié au précédent, il naît une classe qui supporte toutes les charges de la société, sans jouir de ses avantages, qui est expulsée de la société et se trouve, de force, dans l’opposition la plus ouverte à toutes les autres classes, une classe que forme la majorité des membres de la société et d’où surgit la conscience de la nécessité d’une révolution radicale, conscience qui est la conscience communiste et peut se former, aussi, bien entendu, dans les autres classes quand on y voit la situation de cette classe. (…) »
(Marx, Engels, L’idéologie allemande)


Les curés et leurs amis, les conservateurs, qui vouaient la science aux gémonies, elle qui contredisait leurs dogmes, sont parvenus à en faire la religion qu’il convient de chérir à présent, sous peine d’excommunication. Appliquée à la technologie, mère de toutes les vis, leur arme de guerre en ville comme en campagne, elle leur permet de conserver leur pouvoir en intimidant les foules par son caractère indiscutable et à les maîtriser par sa puissance de feu.

Les Anglo-Ricains, ces moines-soldats de leur Dieu, le Capital, en sont le glaive, nous donnant une fois de plus le sens de leur haute tenue morale, eux qui ne manquent jamais de faire la leçon aux peuples de la Terre. Dès le début de ce conflit en Ukraine, fomenté, alimenté, provoqué, soutenu par eux à coups de milliards, de propagande massue et de machines de guerre, ils ont crié au loup, alertant la planète de ce que les Russes faisaient peser le risque d’emploi d’armes nucléaires … et ce sont eux, comme il se devait, qui les emploient, Britanniques comme États-Uniens, livrant aux Ukrainiens des obus à uranium appauvri. Voilà, au moins, qui illustre la réalité de leur préoccupation du peuple ukrainien, qu’ils disent soutenir … comme le souteneur sa gagneuse : où vont être employées ces armes, qui ont déjà fait la démonstration de leur nocivité partout où elles ont été employées, et notamment sur les troufions US du corps expéditionnaire envoyé n Irak, sinon précisément en Ukraine ?
Des munitions qui vont épandre sur le sol de cette région des traces radioactives, mortifères, qui ne s’éteindront pas avant quelques décennies, voire quelques siècles, et que des enfants, s’il en reste sur cette planète, pourront ainsi goûter dans les fruits qu’ils mangeront. Des régions entières ont déjà été détruites par ces armes, ces merdes que l’ordure américaine, tel Attila, laisse partout sur son passage.

Une science destructrice, telle qu’elle s’applique en tous points, dans la destruction des forêts comme dans la construction des bâtisses qui en recouvrent le sol, des plastiques qu’elle utilise à tout va et dont les poissons apprécient sans doute le goût si étrange avant de s’en étouffer, comme les humains, déjà bourrés de pesticides et de nano-technologies, pucés, irradiés de multiples ondes invisibles et mortifères.
Comment ne pas comprendre que l’explosion des cancers par la multiplication sans précédent des fuites chimiques ou des radiations, le feu qui court partout sur la planète, des forêts de l’Australie à celles du Canada, de la Grèce, … c’est l’argent qui court à sa capitalisation, l’organise, la fructifie ; que la fonte des glaciers, les inondations meurtrières, …, la disparition du sable des côtes, comme l’est celle des abeilles, des insectes, des oiseaux, de la faune en général, c’est encore et toujours l’argent ?

C’est encore au nom de la science, des « Lumières » que le dit gouvernement français, par la voix de son morveux qui, sitôt nommé ministre du dit gouvernement, aura voulu faire son chaud, vouant aux gémonies de l’obscurantisme l’abaya … un vêtement, une robe !…. Personne ne dit rien sur les costumes ridicules, cintrés comme autant de gaines, de ceintures de chasteté, que portent les morveux donneurs des leçons de savoir-vivre, eux ! – pas encore sortis des jupons de leur mère.
Le caractère inique d’une telle mesure constitue de fait une « communauté », de sorte qu’il suffira d’appuyer sur ce bouton le jour J, pour dresser en une seule voix vociférante, une opinion fabriquée de longue date, hostile à cette communauté stigmatisée, pourchassée, comme le sont ses enfants depuis plusieurs décennies dans les quartiers de la relégation où ils ont été parqués et sont humiliés chaque jour, assassinés, même. N’assiste-t-on pas, en ce moment même et de façon croissante, à une mise sous les light-shows pressants d’une délinquance tous azimuts ?

On sait les effets sur l’opinion publique dressée aux stimuli comme le sont les rats de laboratoire. La « science » de la manipulation des foules n’a plus même réellement besoin d’un trucage sophistiqué, technologique des dites élections pour programmer l’accession de ses canassons sur la scène du spectacle. C’est ainsi que les moines-soldats du Capital, les Draghi et autres Barroso, ont été littéralement projetés partout où nécessaire, de la banque aux « affaires » et vice-versa, conduisant la dite « politique » (économique), dont, notamment, des « politiques de santé » conformes à certains intérêts « supérieurs », appauvrissant des peuples bourrés au Sorbitol et autres technologies de synthèse, transférant armes et capitaux aux mafias pour suite à donner. Plus de 200 Mds $ auront déjà été transférés à l’Ukraine depuis le début du conflit – plus sous les radars si affinités … –  et, cerise sur le gâteau, dont les 2/3 auront été attribués … par l’Europe ! … privée de gaz russe, payant en substitution du gaz de chiottes ricain, remettant en service des centrales à charbon et pourchassant par des taxes le péquin lambda qui doit se mettre, dare-dare sous peine d’amendes, aux normes « écologiques » !…

On comprend mieux pourquoi les Anglo-Ricains cherchent – « quoi qu’il en coûte »– à jouer les prolongations. Au-delà de tenter d’y épuiser la Russie pour en ramasser l’épave, comme des naufrageurs qu’ils sont, au-delà de mettre définitivement hors course une Europe encore gavée d’illusions, ce sont ces prolongations qui permettent l‘accumulation de ces transferts de fonds. Il y eut le Covid, voici le nouveau « plan Paulson », non plus pour « sauver les banques » (!) … mais pour « sauver l’Ukraine » …

Dame Pfizer – La corrompue Van der Leyen, création de la Merkel sur le départ -, aura fait du bon boulot. C’est pourquoi se prépare sa sortie d’une place devenue un peu trop en butte aux mises en accusation, en attisant le feu de la haine avec la même détermination que celle mise aux transferts de fonds publics par l’achat de milliards de doses d’un prétendu vaccin, par ses dernières déclarations sur  le prochain élargissement de l’UE, dans la continuité de l’encerclement de la Russie, à … la Moldavie !  dans le temps même où la Fondation Open Society du milliardaire proactif G. Soros annonce recentrer ses activités sur  … l’Europe de l’Est …. Une provocation de plus du Parti de l’argent afin d’entretenir la perspective de ces prolongations, et avec elle, la sidération et la terreur. La rumeur ne circule-t-elle pas déjà, préparant les tuyaux de la dite « opinion publique » au visage de la prochaine déflagration – de sa nomination dans un an au poste de SG de …l’OTAN ? Au mieux, nous n’aurons alors pas fini de cracher au bassinet …

Nous n’aurons pas tout perdu, sachant au moins pourquoi nous payons des impôts … ou pas !

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NOTES, SOURCES & LIENS

https://debord-encore.blogspot.com/2023/09/y-en-marre-liberons-la-vie-liberons-la.html

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