Psychotroupes

Mise à jour du 29/02/24

Hier, le « coq français » s’est mis à ameuter le poulailler, une fois de plus, à l’issue d’une conférence internationale sur l’Ukraine avec son cocorico belliqueux à l’encontre de la Russie, forçant la porte des conséquences logiques d’un « accord bilatéral » d’in- sécurité  signé avec l’Ukraine et mis au vote au Parlement : « pas de consensus aujourd’hui pour envoyer de manière officielle, assumée et endossée des troupes au sol (…) Mais en dynamique, rien ne doit être exclu. Nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre », disant « assumer » une « ambiguïté stratégique » – Une manière de signifier qu’il y en a déjà … ainsi ces « mercenaires français » récemment dénoncés par la Russie, une accustion que la France s’est empressée de démentir, alors que …

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Massacre à huis clos

Mis à jour le 1/03/24

« Ce qui se joue à présent est notre destinée d’être humain.
Un affrontement sans merci oppose les instances étatiques et mondialistes du profit et un peuple, dont la vie se réduit comme peau de chagrin sous la pression de la rapacité dominante.

 Ce conflit, l’État a intérêt à le tirer en longueur, car la répression est l’ultime fonction qui lui permet d’exister. Dans le même temps, nous sommes plus en plus nombreuses et nombreux à le pressentir avec un mélange d’exaltation et d’inquiétude : nous entrons dans des années dont le cours nous intime un choix crucial. Nous sommes face à une option qui va déterminer notre sort. Elle est simple.

 Ou, résignés à désertifier la planète, nous travaillons à notre propre destruction.

 Ou nous nous engageons dans une lutte pour la souveraineté de la vie et des valeurs humaines.

 (…) » (Raoul Vaneigem
, 5 avril 2023) https://debord-encore.blogspot.com/2023/09/y-en-marre-liberons-la-vie-liberons-la.html

« L’irréalisme suicidaire de la stratégie de Kiev suggère
(l’hypothèse) paradoxale d’un attachement ukrainien pathologique à la Russie :
un besoin de conflit qui révèle une incapacité à se séparer. »
(E. Todd, La défaite de l’Occident, Paris 2024)

« Personnellement, je suis fière de voir Gaza en ruines, et que chaque bébé, même dans 80 ans, racontera à ses petits-enfants ce que les Juifs ont fait quand leurs familles ont été tuées, violées et leur citoyens enlevés«  » ( May Golan, Likoud, ministre de l’Égalité sociale et de la Promotion de la femme, Discours à la Knesset ,19 février 2024 ) (On remarquera ici, que cette ministre parle non des Israéliens, mais des Juifs !…)

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L’ordure en marche

Mise à jour du 13/02/24

« Le plus grand massacre antisémite de notre siècle »
(E. Macron, « Hommage national aux victimes du Hamas »)

3 enfants tués du fait des bombardements russes. C’est en gros titre. C’est terrible, sans doute, un des effets de la guerre qu’aura déclenchée l’Anglo-US avec la chair à canon ukrainienne.
Dans le même temps, des milliers d’enfants sont en train de mourir, et leurs familles avec, sous les bombes d’Israël, écrasant une population concentrée, confinée dans le Sud de Gaza. Une politique du fait accompli, si propre à Israël qui en aura fait sa marque de fabrique. Un massacre à bout portant (1), dos au mur, qui, quant à lui, n’est évoqué médiatiquement qu’avec beaucoup de pincettes, puisqu’il s’agirait là d’une réponse sans doute quelque peu « disproportionnée », mais dont la légitimité ne saurait être questionnée comme réponse au « terrorisme ». Comment des êtres humains peuvent-ils se livrer à de tels actes aussi immondes ?… Où est leur humanité ? Quand Israël devra disparaître, puisque c’est là son inéluctable destin qu’il aura lui-même fabriqué, où iront tous ces assassins ? Nous n’en voulons pas, et les Franco-Israéliens partis assassiner à Gaza doivent être désormais déclarés persona non grata en France et traités comme tels.

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Vaches à lait & dindons de la farce

Mis à jour le 06/02/24 (Notes)

Dans « La Ferme des animaux », Orwell aura décrit un monde tenu par des porcs (pigs). Satire de l’Union soviétique qui illustre aujourd’hui l’état du monde, mais, plus particulièrement, celui de cet « Occident  global » (l’Anglo-Amérique – Australie, Nlle-Zélande, … – et ses vassaux). En pleine effervescence, grisés par le pouvoir qu’on leur a laissé, les porcs en viennent à retourner leurs propres principes moraux au nom desquels le monde était apparemment dirigé jusqu’à récemment.

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